J’ai toujours dit, Marc aussi l’a toujours dit : ce qui compte, c’est la mélancolie. Aristote aussi, j’oubliais !, l’a toujours dit : « Pourquoi tous les hommes qui furent exceptionnels en philosophie, en politique, en poésie ou dans les arts étaient-ils manifestement mélancoliques ? » (Problèmes). Avec Control freak, on touche le fond. Et chez MONDRIAN, on en est fort aise. Dans la vie, y’a en un la mélancolie, en deux la mélancolie, et enfin en trois – ah oui d’une capitale importance capitale – les mailles de pull à repiquer. Voilà, c’es tout ce que j’avais à dire ; je vous laisse seul avec le lien de la chanson : http://www.myspace.com/popmondrian. "Going once, going twice, sold!" Bonne journée à tous.
"...nobody, not even the rain, has such small hands."
E. E. Cummings
LYRICS : She bath in light and shine/All around/She turn and let come into sight/Perfect lines/Oh, she’s what makes images work/Cos’ nobody, not even the rain, has such fast legs/Yeah, nobody, not even the rain, has such fast legs/Keep dancing to never grow old/Keep dancing, you will never grow old/If you lose yourself, lose total control/Keep moving, keep on and on/And on and on to be/Bold enough/To reach her there/There on the dancefloor/Here rapture, and there it’s obviously her breath into thin air/Here rapture.
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