"[...] Il était une fois un groupe de parisiens beaux comme des tableaux mais qui ne pouvaient pas se voir en peinture. Leur truc à eux c’était le mouvement, pas le figé sur une toile. Et ça tombait bien parce qu’ils étaient super forts en musique… et en vidéos. Quand on joue de la pop, pour se démarquer de la foule d’autres groupes « mignons » il n’y qu’une seule solution : avoir du talent. On entre dans le Pop Shop de Mondrian avec les yeux émerveillés d’un enfant de quatre ans le matin de Noël. Que ce soit les voix, les orchestrations casserole-flute-mandoline ou les textes qui font chavirer le cœur, on dévalise le rayon de Tofu fermier loin d’être insipide, on aime se heurter à l’Amour avec l’impression de tomber sur un édredon doux comme la soie, on veut bien ne plus jamais prendre de petit déjeuner s’il ressemble à celui de la planète surf, on voudrait dodeliner de la tête avec l’air d’être un Bisounours Beatles jusqu’à l’année suivante… ne plus jamais quitter cette autre interprétation d’un monde merveilleux : un grand sourire bienveillant, un Monde-riant". [la suite là: http://jamaisdaccord.com/2010/12/24/les-belles-histoires-6-mondrian/]
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